M.P.M., késaco ?

C'est un acronyme tiré de ma langue maternelle africaine. Pour l'heure, je n'en dirai pas plus. Toujours est-il que la méthode privilégie l'écrit sur le lu, contrairement à ce qui se fait (à tort) partout ailleurs, sauf peut-être (et même certainement) au Japon et en Chine.

Pourquoi le Japon et la Chine ?

Essayez seulement d'apprendre à lire des kanjis (des sonogrammes et des idéogrammes) sans commencer par les écrire ! On dit mission impossible ?

kanji kanji
kanji kanji

Et la chose est encore plus vraie avec l'arabe, avec ces lettres qui changent de forme en fonction de leur position dans un mot. En clair : si tu ne sais pas comment les lettres se déforment en arabe, il n'y a aucune chance que tu saches déchiffrer quoi que ce soit. Et c'est bien ce principe qui a inspiré de bien extraordinaires calligraphes.

arabe arabe
arabe arabe

Lors de la conception de ma méthode, ma toute première "cobaye" fut une petite Samira, fille d'une femme de ménage habitant en face de mon nouveau logement dans le Paris haussmannien. Après avoir jeté un oeil par l'entrebâillement de ma porte et découvert tout un stock de machines, cette petite pimbêche fort futée s'est mise à me harceler à coups de : "Monsieur W., vous allez m'apporter l'ordinateur ?". Le problème est que je ne lui avais jamais promis le moindre ordinateur. Mais bon ! De guerre lasse, pour ses six ans, je lui ai installé un bon vieux Compaq toujours fringuant ainsi qu'une flopée de tutoriels, à commencer par le didacticiel de dactylographie (dernière photo).

Par la suite, c'est tout naturellement à elle que j'ai pensé pour illustrer la couverture du premier volume de la méthode.

mpm
 
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À suivre... To be continued... Fortsetzung folgt... Continuará...

 

 

 

 

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